En 2016, le ministère en charge à l’époque de l’Infrastructure et
de l’Environnement et MVO
Nederland (= un réseau d’entreprises novatrices qui ont pour but de créer une
économie durable) a
pris l’initiative d’utiliser l’accord sur le béton pour développer
les premiers projets du Green
Deal « Béton durable », conclu début 2016. L’objectif du Green Deal
était de proposer une définition
indépendante du « béton durable » qui bénéficierait
d’un large soutien.
L’accord sur le béton veut aller plus loin dans ce domaine et rendre ce concept plus
tangible pour
les partenaires de la chaîne de valeur. En juillet 2018, au moment du lancement de
l’accord sur le
béton, le Rijkswaterstaat (l’agence exécutive du Ministère des
Infrastructures et de la Gestion de
l’eau aux Pays-Bas) a repris le rôle de facilitateur de la MVO Netwerk Beton.
L’« Accord sur le béton » s’engage à augmenter la
durabilité du béton dans le secteur et la chaîne de
valeur. Il se concentre sur quatre thèmes : réduction des émissions de CO2,
économie circulaire,
innovation et éducation et capital naturel. Au sein de ces quatre thèmes, les
signataires de
l’accord visent à améliorer la compétitivité, augmenter les
possibilités d’emploi, augmenter les
exportations sans faire de concessions sur la qualité, la sécurité et la
durée de vie du béton.
L’« Accord sur le béton » donne corps aux objectifs et ambitions pour la
chaîne de valeur liée au
béton. Voici quelques exemples : 30 % de réduction des émissions de CO2
d’ici 2030 par rapport à
1990, avec l’ambition d'atteindre une réduction de 49 % dans la chaîne de valeur,
100 % de
réutilisation de haute qualité des déchets de béton d’ici 2030 et,
avec effet immédiat, remplacement
d’au moins 5 % du volume total de granulats par des flux de béton résiduels.
BESIX est signataire de l’Accord sur le
béton depuis 2020.
Vous trouverez de plus amples informations à ce sujet sur le site de Betonakkoord (uniquement en néerlandais).